Ah ah, oui enfin…Je pense plus au dépouillement dans le sens où plus on a de biens matériels, plus on doit s’en occuper de sorte qu’on en devient un peu esclave. N’avoir que ce dont on a réellement besoin offre une liberté que l’associé à une forme de bonheur.
Oui Pierre, j’avais compris la même chose. En ce moment je suis encore dans le « bag » (boulot, salaire, dépenses, etc). Je me détache de plus en plus du matériel, des dépenses superflues.
En disant que la vie devrait m’aider en ce sens, c’est qu »à la retraite j’aurai moins de revenus, je me concentrerai d’avantage sur l’essentiel. Je n’en serai que plus heureux.
Le bonheur, n’est-ce pas ce savant mélange d’abondance et de dépouillement? Je l’ai toujours cru en tout cas, je l’appelais la simplicité volontaire et maintenant à la retraite après avoir été surtout travailleuse autonome, je vis un grand déséquilibre parce que je subis… le dépouillement, l’abondance n’est plus qu’un lointain souvenir!
Je comprends. La simplicité volontaire et celle qui nous est imposée sont des situations bien différentes, même si en réalité, le résultat est sensiblement le même. La résultante significative n’est donc pas tant ce qu’on vit, mais davantage le sentiment d’avoir perdu une capacité à choisir la simplicité.
Heu… l’abondance, ça va pour l’instant. Le dépouillement? Je progresse en ce sens et la vie courante devrait se charger du reste.
GL
Ah ah, oui enfin…Je pense plus au dépouillement dans le sens où plus on a de biens matériels, plus on doit s’en occuper de sorte qu’on en devient un peu esclave. N’avoir que ce dont on a réellement besoin offre une liberté que l’associé à une forme de bonheur.
Oui Pierre, j’avais compris la même chose. En ce moment je suis encore dans le « bag » (boulot, salaire, dépenses, etc). Je me détache de plus en plus du matériel, des dépenses superflues.
En disant que la vie devrait m’aider en ce sens, c’est qu »à la retraite j’aurai moins de revenus, je me concentrerai d’avantage sur l’essentiel. Je n’en serai que plus heureux.
GL
Le bonheur, n’est-ce pas ce savant mélange d’abondance et de dépouillement? Je l’ai toujours cru en tout cas, je l’appelais la simplicité volontaire et maintenant à la retraite après avoir été surtout travailleuse autonome, je vis un grand déséquilibre parce que je subis… le dépouillement, l’abondance n’est plus qu’un lointain souvenir!
Je comprends. La simplicité volontaire et celle qui nous est imposée sont des situations bien différentes, même si en réalité, le résultat est sensiblement le même. La résultante significative n’est donc pas tant ce qu’on vit, mais davantage le sentiment d’avoir perdu une capacité à choisir la simplicité.
Oups, ce commentaire « anonyme », c’était moi, Zoreilles.